La seconde Guerre Mondiale débute le 1er septembre 1939, avec l’invasion de la Pologne par l’armée allemande. La Grande-Bretagne et la France, liées par des traités, n’ont d’autre choix que de déclarer la guerre à l’Allemagne nazie. En mai-juin 1940, l'Allemagne lance une offensive à l’ouest par une guerre éclair qui submerge la Belgique et les Pays-Bas puis la France en l’espace de quelques semaines, laissant la Grande-Bretagne seule face à l’Allemagne.
En France, un régime pro allemand dirigé par le maréchal Pétain est mis en place alors la résistance s’organise à Londres autour de De Gaulle. En mai 1941 et rompant le pacte germano soviétique, Hitler lance l’armée allemande et ses divisions blindées contre l’URSS. Le conflit devient mondial quand le Japon s’attaque aux Etats-Unis le 7 décembre 1941 à Pearl Harbor, et il fera des millions de morts, dans les camps de concentration comme sur les champs de batailles ou parmi les populations civiles.
Effectuez une recherche parmi nos centaines d'articles, ou bien parcourez notre sélection ci-dessous !
|
L'évacuation de Dunkerque est une opération militaire connue sous le nom d’opération Dynamo, menée du 27 mai au 4 juin 1940, au début de la Seconde Guerre mondiale, pour évacuer vers l’Angleterre les troupes britanniques et françaises prises en tenailles dans la poche de Dunkerque par les divisions blindées allemandes. En un temps record, la Royal Navy réquisitionne et réunit à Douvres autant de navires que possible, destroyers et dragueurs de mines, mais aussi navires de commerce, de pêche et de plaisance. Grâce au soutien d’unités britanniques, et françaises surtout, défendant avec ténacité un périmètre autour de Dunkerque, de nombreux soldats, regroupés sur les jetées et les plages, réussissent à être évacués.
En 1940, la forêt de Katyn, située près de Smolensk, fut le théâtre du massacre des officiers polonais par des agents du NKVD, la police politique de Staline. Le 12 avril 1943, l'armée allemande découvre un charnier d'environ 4 000 cadavres d'officiers polonais abattus chacun d'une balle dans la tête. Les Allemands affirmèrent aussitôt que ces officiers polonais avaient été massacrés par les Soviétiques, au moment de l'entrée de l'Armée rouge en Pologne orientale en 1939. Accusation que ces derniers rejettent avec vigueur sur les Allemands... En 1990, Mikhaïl Gorbatchev reconnait publiquement l’implication de l’Union soviétique dans cette tuerie et autorise l’ouverture des archives secrètes. Ces dernières apporteront les preuves de la planification par Staline du massacre de Katyn.
Le 19 août 1942, un commando allié composé d’environ 5 000 Canadiens, 2 000 Britanniques et de petits détachements de soldats américains et de Français de la zone libre débarquent à Dieppe. Le premier grand débarquement allié en Europe occidentale vient de commencer. Il a pour objectif d’obtenir des informations pour un projet de débarquement en Europe. Souvent oubliée ou reléguée au rang des erreurs stratégiques couteuses, l’opération Jubilee n’en fut pas moins un événement important du processus qui devenait mener au débarquement du 6 juin 1944. C’est par le sang abondamment versé sur les plages de galets de la Seine Maritime, que les états-majors anglo-saxons tirèrent les indispensables leçons qui firent le succès d’Overlord.
Si le cuirassé de poche Graf Spee a vécu une courte mais glorieuse vie, si le Bismarck s’est illustré en détruisant le navire fétiche de la marine britannique et en mobilisant la moitié de ses effectifs pour sa destruction, d’autres bâtiments allemands se sont faits remarquer, en particulier dans la course contre les convois alliés en Atlantique et en mer du Nord. Parmi eux, le Scharnhorst et le Gneisenau, qui donnèrent de nombreuses sueurs froides à la Home Fleet…
En mai-juin 1940, la débâcle française sur terre a été rapide, et pratiquement sans contestation. En revanche, la marine française reste puissante, et à la veille de l’armistice, ce sont autant les Anglais que les Allemands qui lorgnent vers ses fleurons. Parmi eux, le cuirassé Jean Bart, frère jumeau du Richelieu, pas encore achevé en ce mois de juin 1940. Il va pourtant être le héros d’une remarquable évasion. Ce petit miracle sera vite oublié après le désastre de Mers-El-Kébir et le sabordage de la flotte de Toulon en 1942.
Le 19 avril 1943, la révolte du ghetto de Varsovie entre dans son ultime et plus cruelle phase. Depuis Janvier l'« Union Militaire Juive » et l'« Organisation juive de combat » sporadiquement soutenues par l'« Armée Intérieure » polonaise s'opposent par la force aux déportations, qui ont déjà concernés plus de 300 000 personnes. Les allemands à l'origine dépassées par la situation, se décident à réagir et à écraser l'insurrection, ce par tous les moyens possibles.
Le 8 mai 1945 est signé à Berlin l'acte de capitulation de l'Allemagne, qui met fin à la seconde Guerre Mondiale en Europe, après six années d'un conflit qui a ravagé le continent et fait des millions de morts. Cet acte de reddition inconditionnelle de toutes les forces armées allemandes avait été signé une première fois le 7 mai au quartier général d’Eisenhower à Reims, mais un second texte fut signé le lendemain au quartier général soviétique dans la capitale du Reich, à la demande express de Staline. La commémoration du 8 mai est un jour férié dans de nombreux pays. Chaque année en France la flamme de la tombe du soldat inconnu de l'Arc de Triomphe est ranimée lors des cérémonies officielles.
Le 10 décembre 1941, avec la perte du HMS Répulse et du Prince of Wales dans le pacifique, la marine britannique connait un désastre sans précédent. Pourtant, au lendemain de Pearl Harbor qui voit l’essentiel de la flotte américaine (porte-avions exceptés) hors de combat, seuls les Britanniques étaient encore en mesure de tenir tête à la marine impériale japonaise. Mais la guerre en Europe mobilise une partie importante de leur flotte, alors que l’ennemi japonais a pour lui un grand nombre de navires modernes, et surtout a totalement adopté l’utilisation de l’arme aérienne dans la guerre navale. Les Britanniques vont l’apprendre à leurs dépens…
Le désastre de Pearl Harbor est encore dans toutes les têtes quand le général Arnold propose au président Roosevelt un bombardement sur Tokyo: le raid Doolittle. Un raid que l’on savait avant tout symbolique, mais qui devait aider à soutenir le moral de toutes les troupes alliées victimes des Japonais depuis ce funeste 7 décembre 1941. Roosevelt donne donc carte blanche à son état-major pour trouver les moyens d’organiser ce raid. C’est le lieutenant-colonel Doolittle, spécialiste de l’aviation de bombardement, qui est chargé de mener l’opération.
L'opération Walkyrie était un complot fomenté par un groupe d’officiers de haut rang de la Wehrmacht, qui ont cherché à éliminer Adolf Hitler dès 1943 pour sauver l’Allemagne. Le comte Claus von Stauffenberg a joué un rôle essentiel dans cette conspiration, qui a abouti, le 20 juillet 1944, à une tentative d’assassinat du Führer. L’échec de l’opération a eu pour conséquence l’arrestation de la plupart des conjurés et leur élimination physique brutale, mais elle a aussi été le prétexte d’une grande vague de répression déclenchée par la Gestapo contre des opposants présumés qui n’avaient rien à voir avec les militaires initiateurs de l’attentat manqué.
Mesurant 263 mètres de long et pesant plus de 65 000 tonnes, le cuirassé Yamato, star de la marine impériale japonaise, était le plus grand cuirassé jamais construit. La Seconde guerre mondiale aurait pu être l’apogée de ces géants, elle fut leur cimetière. Ainsi en fut-il pour le célèbre Yamato, coulé en avril 1945. Très rapidement supplantés par les porte-avions, ces monstres des mers, héritiers des grands navires de guerre à voile de l’Age d’Or de la marine, ont vu leurs représentants les plus illustres connaître des destins contrastés. Après les héroïques raids du Graf Spee et du Bismarck, l’agonie du Prince of Wales et du Repulse ou les évasions miraculeuses du Jean Bart et du Scharnhorst, qu’est-il advenu du plus énorme d’entre tous, le Yamato ?
Le Graf Spee était un cuirassé de poche de la marine allemande, en service de 1936 et sabordé fin 1939 au large de Bueno Aires en Argentine. Appartenant à une nouvelle catégorie de bâtiments de guerre, il fut le second de cette classe (après le Deutschland, rebaptisé Lützow, et avant le Admiral Scheer), lancé en 1934 à Wilhemshaven. Ce fleuron de la Kriegsmarine allait terroriser la flotte marchande britannique au début de la Seconde Guerre mondiale, avant de connaître un destin tragique presque aussi marquant que celui du Bismarck. Sa courte carrière s'achève de l’autre côté du monde, lors de la "bataille" du Rio de la Plata, le 13 décembre 1939.
Le 10 mai 1940 marque la fin de la Drôle de guerre et le début de la Bataille de France (ou Campagne de France). L'Allemagne nazie passe à l'offensive en envahissant simultanément les Pays-bas, le Luxembourg, la Belgique et la France. En moins d’un mois, l’armée allemande va enfoncer le front, perçant à Sedan pour terminer aux portes de Dunkerque, là où les restes de l’armée alliée encerclée vont tenter de sauver ce qui peut l’être. Pour la France, il est déja trop tard et le maréchal Pétain annonce le 17 juin la cessation des hostilités. Le lendemain depuis Londres, le général de Gaulle appelle à la poursuite de la guerre. Plus d’un million et demi de soldats ont été faits prisonniers et 123 000 ont péri dans les combats entre mai et juin 1940.
Le 3 juillet 1940, la marine britannique attaque et détruit une grande partie de la flotte française réfugiée dans la rade de Mers el-Kébir. En moins de vingt minutes, les navires français pris au piège dans la rade, notamment trois cuirassés, six contre-torpilleurs et un porte-avions, sont pilonnés et pour la plupart coulés. Au cours de cette opération, 1 297 marins français trouvent la mort. Seul le cuirassé Strasbourg et une petite flotille parviennent à prendre le large et à rallier le port de Toulon. L’attaque de Mers el-Kébir entraîne une vague d’anglophobie en France, relayée par les journaux, contribuant à la fois à éloigner le gouvernement de Vichy de la Grande-Bretagne et à affaiblir pendant un temps l’action menée par la France libre du général de Gaulle, qui s’est rallié aux Anglais.
Le 6 juin 1944, l'opération Overlord est lancée. Elle consiste pour les alliés à effectuer un débarquement en Normandie en vue de l’offensive finale contre l’Allemagne, la où le « mur de l’Atlantique », fortifications érigées par les Allemands, semble le plus faible. Dès l'aube de ce « jour le plus long », les troupes américaines, britanniques et canadiennes débarquent sur les plages d'Omaha, Utah, Gold, Juno et Sword, en Normandie, inaugurant la Libération du territoire français, tenu par les Allemands depuis 1940. Cet événement majeur de la Seconde Guerre mondiale est l'objet de commémorations sur les lieux du débarquement en Normandie chaque 6 juin.
Les bombardements d'Hiroshima et Nagasaki les 6 et 9 août précipitent la capitulation du Japon, le 2 septembre 1945. La reddition officielle est signée à bord du cuirassé américain Missouri dans la baie de Tokyo, et marque la fin de la seconde Guerre Mondiale. Débutée le 7 décembre 1941 à Pearl Harbor, la guerre du Pacifique a vu s’affronter des centaines de milliers de combattants sur le théâtre d’opérations le plus grand du globe, dans une guerre à la fois terrestre et aéronavale. Au terme du conflit, le Japon compte environ deux millions de morts. Près de 40% des villes et l’intégralité des structures économiques du pays sont détruites.
La conférence de Potsdam (17 juillet au 2 août 1945) réunie les chefs d’état et de gouvernement américains, soviétiques et anglais pour tenter de régler l'avenir de l'Allemagne après la Seconde Guerre mondiale. Joseph Staline et Winston Churchill vétérans des précédentes conférences interalliées sont une fois de plus au rendez-vous, alors qu’Harry Truman remplace Franklin Delano Roosevelt, décédé le 12 Avril. Cependant l’essentiel va se jouer entre le nouveau président américain et le leader soviétique. Face à une armée rouge qui contrôle l’essentiel de l’Europe Centrale, Truman dispose néanmoins d’un atout de taille : la bombe atomique testée un jour plus tôt…
Auschwitz était le plus grand des camps de concentration nazis, situé à environ 60 km de Cracovie en Pologne. Il a été édifié en 1940 sur l’ordre de Heinrich Himmler, afin d’être utilisé comme camp d’extermination ; à partir de 1942 y sera mise en œuvre la « solution finale » (extermination systématique des Juifs). En 2015 fut commémoré la libération des camps d'Auschwitz Birkenau, en mémoire des millions de Juifs assassinés et massacrés au nom de l'idéologie raciste d'Hitler, selon laquelle, la race allemande présente une supériorité vis-à-vis d'autres races jugées inférieures. Sur la base de cette idéologie, a été perpétré la Shoah – la catastrophe en hébreu - qui va coûter la vie à plus de cinq millions de Juifs, organisée de façon méthodique et froide.
Mis en service en 1940, le Bismarck était un cuirassé lourd de la marine allemande. Il porte le nom du célèbre chancelier à l'origine de la création de l'Empire allemand à la fin du XIXe siècle. En mai 1941, lors d'un combat éclair dans l'océan Atlantique septentrional, le Bismarck coule le HMS Hood, un croiseur de bataille anglais qui était la plus belle unité de la Royal Navy. Ce sera son seul fait d'arme. Traqué par la marine britannique, il ne parvient pas à regagner la rade de Brest et sera coulé le 27 mai 1941. La guerre navale dans l'océan Atlantique deviendra principalement sous-marine, et les affrontements entre navires de surface seront rares.
Le 7 décembre 1941 le Japon attaque par surprise et sans déclaration de guerre préalable la flotte américaine du pacifique basée à Pearl Harbor à Hawaï, semant le chaos sur l'archipel. Les Etats-Unis sont sous le choc : l'attaque nippone a fait 3000 victimes et mis hors de combat de nombreux navires dont deux cuirassés coulés. Pour les japonais, c'est un succès foudroyant bien que partiel, les porte-avions américains étant absents de la rade, ce qui aura son importance par la suite. Ce tournant de la Seconde guerre mondiale, qui n’en finit pas de provoquer débats et polémiques, est avant tout l'événement qui a conduit les Etats Unis à entrer dans la guerre de 39-45, avec les conséquences que l’on sait : mondialisation totale du conflit, rééquilibrage des forces, puis rivalités pré-Guerre Froide entre Alliés et enfin, évidemment, le début de l’ère nucléaire.
Le pacte germano-soviétique est un traité de non-agression entre l'Allemagne et l'URSS signé à Moscou le 23 août 1939 par les ministres des Affaires étrangères du IIIe Reich et de l’URSS Joachim von Ribbentrop et Viatcheslav Molotov. Après le déclenchement de la seconde Guerre mondiale, il sera complété le 28 septembre 1939 par un traité de “délimitation des frontières et d’amitié” et d’un accord économique portant sur la livraison par l’URSS à l’Allemagne nazie de matières premières et de céréales. Cette alliance contre-nature provoquera la stupéfaction dans le reste du monde et aura des conséquences funestes sur l’avenir de l’Europe.
S'étant tenue du 4 au 11 février 1945, la conférence de Yalta qui réunissait les dirigeants de l'Union Soviétique (Joseph Staline), des Etats-Unis (Franklin Delano Roosevelt) et du Royaume-Uni (Winston Churchill), fut longtemps considérée comme le moment où l'ordre de l'après guerre fut mis sur pied. En réalité bien qu'important, cet évènement, ne fut qu'un épisode du long processus de négociations entre les futurs vainqueurs du second conflit mondial (de la Conférence de l'Atlantique à l'été 41, à celle de Postdam en juillet-août 45, en passant par celle de Casablanca en janvier 43, etc...). A Yalta, les enjeux principaux portèrent sur les modalités de la capitulation allemande et la mise en place de l'Organisation des Nations unies (ONU).
Les bombardements atomiques d'Hiroshima et Nagazaki, les 6 et 9 août 1945, font brutalement entrer l'humanité dans l'ère nucléaire. Ils provoqueront la reddition japonaise et affirmeront temporairement la suprématie militaire des Etats-Unis sur l'URSS. Pour accélérer la fin de la guerre dans le Pacifique, les américains larguent la première bombe atomique de l'histoire, « Little Boy », sur la ville japonaise d'Hiroshima, le 6 août 1945. Trois jours plus tard, une deuxième bombe explose au-dessus de Nagasaki. Les deux villes sont instantanément réduites en cendres et les deux explosions provoquent des dizaines de milliers de victimes, immédiates ou ultérieures.
18 juin 1940 : depuis un studio de la BBC, un obscur général de brigade, Charles de Gaulle, exhorte les français à poursuivre le combat. Ce qui restera dans l'histoire comme l'appel du 18 juin fait écho à celui lancé la veille par le Maréchal Pétain, nouveau président du Conseil, qui a énoncé aux français le « cœur serré » la nécessité de « cesser le combat ». Le gouvernement, réfugié à Bordeaux, s’apprête à négocier un armistice avec l'Allemagne nazie, qui vient d'entrer dans Paris quelques jours plus tôt. Toute résistance semble désormais vaine, et pourtant certains se refusent à déposer les armes. Leur volonté de résistance, va s’incarner en ce jour par le fameux appel du 18 juin.
C'est le 20 janvier 1942 que se tient la conférence de Wannsee. Cette réunion de quinze hauts dignitaires nazis (parmi lesquels Heydrich, Eichmann, Freisler et Müller) qui a lieu dans une villa cossue de Berlin, a été perçue par la suite comme un tournant dans le processus décisionnel qui a entraîné l'extermination des juifs d'Europe. En réalité, la conférence ne fut qu'un épisode, d'une série de réunions de l'hiver 41-42, où les dirigeants nazis qui avaient déjà commencé à mettre en œuvre "la solution finale de la question juive" (cf l'action des Einsatzgruppen sur le front de l'Est), mettent en place une rationalisation de leur politique génocidaire.
Le point culminant de la bataille de Monte Cassino en Italie a eu lieu en mai 1944. Après le débarquement allié en Sicile en juillet 1943, les Allemands tentèrent d'arrêter l'avancée des Alliés sur Rome en utilisant la ville et l'abbaye de Cassino comme points de défense stratégiques. Entre novembre 1943 et le printemps 1944, c'est régulièrement la cible des offensives alliées, qui culminent le 15 février 1944 avec la destruction de la célèbre abbaye ; en mai, Cassino est le théâtre de l'un des combats les plus sanglants de la Seconde Guerre mondiale.
L'Afrikakorps était un détachement de la Wehrmacht en Afrique du Nord, commandé par Erwin Rommel de février 1941 à mai 1943 pendant la Seconde Guerre mondiale. Composé de 45 000 hommes et 250 chars, l'Afrika Korps connaît une célébrité immédiate grâce à la remarquable intuition stratégique d’Erwin Rommel, général allemand dont la carrière a commencé dans les divisions blindées engagées dans la campagne de France en 1940.